17 août 2007
Home sweet home
Si par bonheur tu frappes à ma porte,
Quelle que soit l'heure ce sera la bonne,
Et peu importe même si tu sonnes,
Je préfère réveiller le voisinage,
Plutôt que de rater l'occasion de revoir ton visage,
Qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il neige,
Il y aura toujours une place pour toi au chaud,
Quelques mots gentils et de petites attentions,
Pour te mettre à l'aise après tous les tourments du chemin.
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